Ne laissons pas Pierre Laurent interdire la candidature communiste ! - commentaires

Ne laissons pas Pierre Laurent interdire la candidature communiste !

Laurent et ses amis ne se privent pas d'exiger la démocratie qu'ils bafouent en permanence de manière bureaucratique dans le Parti, en contournant, déformant les décisions prises, en personnalisant : remarquez ses « je » (moi chef du Parti qui présente ses « chefs » de file aux élections qu'il nous fait perdre par ses ambigüités dues à son indécision transformée en « expériences », menées « sur le »terrain" avec des candidatures fragiles ou carrément réformistes comme la tête de liste battue aux dernières régionales de la Nouvelle Aquitaine)
Aujourd'hui le PCF de P. Laurent et la langue de bois de ses assistants, ce n'est plus le PCF.
C'est dur de dire cela, mais nous approchons d'un immense gâchis.
Tout ce que nous craignions s'est produit, tant sur le plan politique, économique, social. Nos propositions ont été abandonnées avec les années, sciemment, avec des arrivistes et autres mauvais fonctionnaires d'un appareil qui ne tourne que pour assurer sa propre existence, assurer le financement de sa propre existence aveugle parce que déconnecté de la vie des exploités, accompagnant l'une des pires politique menée contre les exploités par des organisations qui s'en réclament.
Cet affront aura des conséquences graves, d'abord pour le PCF qui a été désarmé au moment où le camp populaire a besoin de lui, parce qu'il refuse à se reconstruire de manière autonome.
Il n'est nullement besoin de « Sauveurs suprêmes », ni d'entremetteur pour « s'entendre comme larrons en foire » en reculant sans cesse sur les exigences que demande une véritable politique en faveur de nos intérêts de prolétariat face au Capital.
Ne nous créons pas de boucs émissaires sur des responsabilités qui nous incombent de laisser ces liquidateurs qui savent pratiquer une « centralisation bureaucratique » à défaut de la Démocratie du « Parle toujours, tu m'intéresses ! »

Ne laissons pas Pierre Laurent interdire la candidature communiste !

l'Opéra « Mouffe », Tsipras, la merluche et les autres, les cocus du systèmehttp://www.librairie-tropiques.fr/2...

Ne laissons pas Pierre Laurent interdire la candidature communiste !

« Reçu » :
De : "Vie militante du PCF" chez pcf.fr>
> A : destinataires inconnus : ;
> Copie à :
> Objet : [Adherents] Pétition : 2017, Vivement la gauche !
>
> Paris, le 13 octobre 2016

> Cher-e camarade,
>
> Le rendez-vous de restitution nationale de la grande consultation citoyenne du 8 octobre a été un succès. Avec cette émission, suivie en direct par près de 10 000 personnes, nous avons réussi le pari de donner un autre visage de la France. Nous avons donné un porte voix aux exigences des 400 000 personnes rencontrées et aux 65 000 questionnaires remplis.

> Ce sont autant d'attentes, de propositions qu'il nous faut désormais mettre en mouvement.

> Les priorités communes qui se dégagent de cette consultation posent avec force la nécessité d'un débouché politique lors des scrutins de 2017. C'est pourquoi Pierre Laurent, lors de la conclusion de cette initiative, a lancé un appel au rassemblement.

> Pour faire vivre cet appel, tu trouveras ci dessous le texte et le lien de la pétition "2017, Vivement la gauche", pour continuer d'exiger avec le plus grand nombre le rassemblement à gauche.

2017, Vivement la gauche !

> Il est temps d'arrêter la dispersion et la division de ceux qui, à gauche, veulent vraiment proposer une alternative à la droite déchaînée, au FN menaçant et à la politique du quinquennat Hollande. Pour une France digne de son histoire, de ses valeurs humanistes. Pour gouverner sans trahir, sans se soumettre à la finance et au Medef. Un seul candidat et la victoire devient possible.
> Nous appelons tous les candidats de la gauche d'alternative à la politique du gouvernement à se rassembler pour construire une nouvelle majorité politique à gauche, autour d'un ou d' une seule d'entre eux à l'élection présidentielle.« »

Ma réponse à : vie-militante chez pcf.fr ; "laurent Perea" secrétaire fédéral ; "julien CHOUET" secrétaire de section.

Bonjour,
Je réagis à ce courriel reçu de la direction du parti, via Vie militante, semble-t-il adressé à tous les adhérents, du moins ceux qui ont une messagerie électronique.
Je suis très étonné et aussi fortement en colère.
Alors que le processus de consultation des communistes est en cours sur nos choix pour 2017, nous sommes en tant d'adhérent, "invités" à soutenir par pétition un texte qui est un soutien manifeste et semble-t-il assumé à l'hypothèse n°1, à savoir, ne pas choisir de candidat le 5 novembre, en écartant donc d'emblée les 2 autres hypothèses, dont celle qui consisterait à présenter un candidat issu du PCF, y compris dans le cadre du rassemblement prôné à l'option n°1 !!
Cela ne reflète nullement les débats et la discussion que les camarades de la section Bergerac ont eu mardi 11 octobre.
Par cette attitude, la direction du parti fait un double choix, tout autant sucidaires ou mortifères, comme certains l'on dit ou écrit :
– elle contribue à la division des communistes, au renforcement de "tendances", à entretenir des jeux politiciens, à favoriser des initiatives individuelles ou minoritaires ;
– elle relève de méthodes et de pratiques que j'avais cru révolues, que j'ai certes moi-même utilisées, pour lesquelles certains de ces mêmes dirigeants actuels ont "écartés" des communistes sincères (je suis aussi bien placé pour le savoir), et qui s'apprête à passer par dessus bord le bébé, l'eau du bain, la baignoire, et peut être aussi la maison.
Est-ce ainsi que "l'on force l'union" dixit Marie Pierre Vieu !!

Chacun connait ma position à l'intérieur du Parti et mes attaches à l'extérieur, dans le combat commun d'une société communiste ;
Je n'accepte pas qu'un quarteron de néo-staliniens et/ou social-démocrates (à choisir les moins pire) s'arroge le privilège de me dicter ce que je dois décider et faire, et fasse aussi peu de cas de la démocratie dans le parti, que par ailleurs ils réclament des autres partenaires !!
Après le déroulement du Congrès, cela augure assez mal de la vie du parti dans les prochains mois ...
A bon entendeur...
Jean Pierre TRICAUD
Militant du communisme.

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pour illustrer...extrait du compte-rendu de la convention des insoumis, JLM veut bien accueillir de nouveaux insoumis, mais dans le cadre existant de l'insoumission...

Certains de ceux qui appellent à soutenir Jean-Luc Mélenchon, comme le fait l'appel « En 2017, faisons front commun », estiment qu'il faut revoir le cadre de la France insoumise. Cela est-il envisageable ?

Charlotte Girard Non, je ne crois pas, parce qu'on ne peut pas changer de cadre toutes les cinq minutes. Il est proposé depuis février, a été appuyé par plus de 130 000 personnes et est reconnu dans l'espace public. On va perdre un temps phénoménal et surtout on va brouiller le message. Nous sommes un outil mis à la disposition du plus grand nombre. Nous avons vu que ça marchait. Cet espace était vacant de toute façon et il a été complètement occupé. Aujourd'hui, la logique est plus celle d'une implication progressive et continue, d'une sédimentation. Il n'y a aucune raison que la porte soit fermée, ce qu'on peut faire, c'est accueillir toujours plus d'Insoumis. Mais, effectivement, la matrice est celle de l'insoumission.

La base de votre travail a été le programme « l'Humain d'abord » du Front de gauche en 2012. Dans quelle mesure y a-t-il eu du changement ?

Charlotte Girard Il y a eu des modifications en matière d'écologie, notamment. Non seulement dans les formulations, mais aussi sur certains choix. Sur le nucléaire, on assume un positionnement qui ne pouvait pas être tranché à l'époque. En 2012, nous avions une formulation qui consistait à convoquer un référendum sur la fin du nucléaire, ce qui permettait à certaines composantes du Front de gauche d'accepter d'ouvrir une perspective sur la fin des énergies nucléaires. Désormais, la question n'est pas de savoir si nous allons engager la dénucléarisation du pays, mais quand et comment ? La centralité de la transition écologique est assumée dans sa radicalité. La VI^e République et, au-delà, la procédure constituante sont également absolument centrales. C'est ce qui fait la spécificité de la France insoumise.

La centralité de la transition écologique.... c'est l'arme idéologique contre le service public... !!

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Bernard,

il n'y aura aucune négociation avec JLM car il n'en a pas besoin, sa bataille est lancée, sur un contenu fait pour marcher sur les verts, compte tenu que pour lui, l 'électorat communiste lui est acquis, ce qui n'est vrai qu'en partie (il a le vote communiste couches moyennes, mais pas ce qui reste du vote populaire).

Et on pourra toujours s'agiter pour dire qu'on fait une campagne communiste, ce sera inaudible là ou on veut être entendu, dans le monde du travail, dans le renouveau militant contre la loi travail...de toute façon ce qu'on fera sera inaudible médiatiquement, mais sauf à rester dans l'illusion électorale, ce n'est pas notre premier problème...

Le seul critère de décision, c'est ce qui peut encore unir une part décisive des communistes d'en bas... Soutenir Mélenchon comme soutenir un frondeur, c'est accélérer la cassure entre communistes. C'est évident pour la tentative de coup de force de Pierre laurent pour un soutien à un frondeur, mais c'est aussi le cas pour JLM, car soyons clair, pour la défense de l'industrie, du développement des forces productives sous le controle des salariés...et aussi pour pouvoir battre le PS au premier tour des législatives, je ne mènerai pas la campagne JLM !

Tu t'enfermes dans ce piège JLM ou un frondeur dans lequel Pierre Laurent a mis le parti. Certes il est tard et nous sommes faibles, mais pour un communiste, ce ne sont pas des raisons d'abandonner.

Hasta la victoria sempre !

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Il n'y a pas de bonne solution dans le choix d'un candidat, mais la contradiction dans laquelle la direction s'est placé va éclater et le parti avec, sauf si les communistes ont un réflexe de parti.

beaucoup de ceux qui n'en peuvent plus de la soumission au PS se disent qu'au moins JLM est plus radical, est identifié en dehors du PS et pensent qu'on peut peut-être mener une bataille communiste sur son nom. Je suis convaincu qu'ils se trompent parcequ'ils restent dans le cadre de la personnalisation présidentielle et 2012 nous montre à quel point elle emporte et dissout tout.. Qui se rappelle de l'incroyable mobilisation des grands meetings de 2012 et de sa dilution immédiate dès les législatives...sans compter la suite... Non la seule campagne de Mélenchon sera la sienne, et tout ceux qui le suivront y seront dissous...

beaucoup de ceux qui pourraient soutenir une candidature communiste se disent qu'elle est impossible avec cette direction, et que ni Laurent, ni Chassaigne ne peuvent porter un programme de rupture. Ils n'ont pas tort,m ais là aussi restent enfermé dans la personnalisation... comme si le candidat faisait le contenu... comme si c'était la personnalité de Duclos en 69 qui avait fait le résultat (même s'il y a contribué...)

certes, quand on pose la question d'un candidat(e) communiste porteur des luttes sociales, du changement de société, de l'engagement dans l'action et l'effort d'organisation populaire, annoncant la reconstruction d'un grand parti communiste, on sait que c'est peu probable de trouver ce candidat... Même si le succès médiatique de Besancenot montre qu'un inconnu peut y arriver... C'est pourquoi il serait très utile de faire surgir des noms potentiels.... Cécile Cukierman, candidate dans la ligne du parti, mais qui a mené une bataille combative et communiste aux régionales, Sébastien Jumel, un maire qui se bat et qui pourrait représenter une des forces restantes du communisme, son enracinement local bien affaibli mais qui existe... D'autres noms ? cela changerait tout,

mais qu'on le prenne comme on veut, la seule question qui restera de ces présidentielles n'a rien à voir avec son résultat, mais tout à voir avec l'existence ou non du PCF après. Pierre Laurent et sa pétition vivement la gauche prépare déja le congrès de la dissolution. Les contradictions internes sont telles que l'éclatement est le plus probable... JLM considère lui que la question est déja réglée...

qu'est ce qui peut l'éviter ? rien d'autre qu'une décision des communistes d'affronter la difficulté, autour d'une candidature, qui ne peut être géniale, qui est même certainement pleine de défaut mais qui offre la possibilité d'une bataille nationale, et qui de fait met la direction actuelle devant un mur et oblige même le conseil national à réouvrir les choix stratégiques...

Bien sûr, notre réseau n'est pas déterminant dans la décision des communistes, mais plus nous imposerons le débat sur l'essentiel, la candidature communiste, plus nous ouvrirons les possibles... et quand on peut mener une campagne législative, ce sera une aide importante...

Sur ce point des législatives, soyons clair, si le parti soutient JLM, ce sera un vrai handicap dans les quelques circonscriptions populaires ou on peut espérer faire un bon résultat. Je rappelle les analyses sociales faites après 2012, qui montrent clairement comment le vote JLM a accéléré le recul communiste dans le monde ouvrier et son progrès relatif dans les couches moyennes urbaines...

pam

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Cela fait près de 6 mois que J.L. Mélenchon a lancé sa candidature. De nombreux autres candidats aussi, même si certains comme Hollande font semblant de ne pas l'avoir lancée.
C'est à cette époque là qu'il fallait le faire, retarder les échéance, pour lancer une candidature le plus tard possible, revient à éliminer à l'avance le PCF.
Comme ils ont organisé le coup, si on a un candidat maintenant, il fera un score très faible et on sera encore plus marginalisé ! ! !
Pierre Laurent a gagné avant de combattre, en ne faisant rien.
De toute façon, avec lui, il vaut mieux ne rien faire, il est archi-nul.
Ce n'est pas lui qui fera remonter le parti !
Michel.

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Il semble par ailleurs que pendant que ce débat se tient ici, un dirigeant du PCF et pas n'importe lequel, a lancé une pétition (hors parti) pour soutenir le choix du PCF qui selon le texte est identique à tout ce qu'il concocte depuis avant le congrès, dans lequel il a été très peu majoritaire sur la base qu'il proposait.
« Nous appelons tous les candidat-e-s de la gauche d'alternative à la politique du gouvernement à se rassembler pour construire une nouvelle majorité politique à gauche autour d'un ou d'une seule d'entre eux à l'élection présidentielle. »
https://www.change.org/p/aux-canditat-e-s-de-la-gauche-d-alternative-%C3%A0-la-politique-du-gouvernement-2017-vivement-la-gauche?recruiter=610041068&utm_source=share_petition&utm_medium=email&utm_campaign=share_email_responsive

C'est à peu près mot pour mot, l'appel lancé par Filoche et sa bande de joyeux lurons, sous différents nom : front commun, ici « pour un candidat unique de toute la gauche en 2017 »
« Tout cela doit converger si l'orientation et les candidatures de Hollande et Valls sont écartées et battues : on peut majoritairement choisir, à temps, une candidature unique sur une plateforme commune ».

Sans réaction des rangs des communistes, en négociation avec JLM, nous sommes partis pour un alignement sur les « frondeurs ».
Les élus locaux du PCF bien comme il faut,qui se sont accommodés depuis 40 ans d'être des adjoints de maires PS vont signer la pétition Laurent comme un seul homme.

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Je n'ai rien dit d'autre Joel Y

Effaçons le terme ralliement, et prenons le tien qui est « soutien contre négociations » qui me va très bien.

Il faut se souvenir que nous sommes reliés fortement aux assises du communisme don au moins l'un des participants (le RCC) a adopté cette position

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ilfaut un candidat communiste en 2017

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La catastrophe est que la direction nationale ne fait rien pour faire vivre le Parti. Les luttes du printemps ont mis en évidence la colère et la combativité des jeunes, des salariés et des retraités. Mis à part les sempiternelles propositions réformistes de partage, de refondation de l'Europe, d'alliances au sommet nous n'avons rien à leur proposer à la hauteur des attentes. Des propositions de prise en mains du pouvoir économique et financier sont les seules vraies réponses aux colères et aux besoins sociaux (nationalisations de l'industrie et de la banque, rejet pur et simple de l'Europe .....Jacques Chabalier assistait à l'assemblée générale des communistes de la Meuse (10 participants sur une centaine d'adhérents revendiqués). il se livra à un interminable plaidoyer pour un improbable rassemblement en mettant lourdement en évidence le danger d'une victoire de la droite ou du FN. Deux jours après cette réunion notre secrétaire départementale annonçais soutenir Mélenchon. Rien en ce qui concerne notre propre bataille. Pour ma part je considère qu'il est catastrophique de rester l'arme au pied, inexistants en attendant d'entrevoir une solution électorale. De la popularité et de l'adhésion que recueilleront nos propositions dépend finalement notre capacité à rassembler quel que soit le candidat qu'il soit membre du parti (comme je le souhaite) ou Mélenchon qui, depuis 2012 a pourtant montré les limites politiciennes et réformistes de son parcours .

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Bonjour,
Je vais être bref : ras le bol du copinage Pierre LAURENT ( argent du PCF )- Jean-Luc MELENCHON ( bien introduit dans les « milieux » politiques ). A la veille d'une guerre ( me dites pas que vous ne voyez rien venir ), on en est a se tailler des bavettes, en espérant récupérer le plus gros bout de gras. Il faut défendre les idées communistes de non-violences plus que jamais en ce moment. Sinon, comme pour les guerres précédentes, l'Histoire ne retiendra, encore une fois, que « la Gauche » a brillé par son absence
M. MELENCHON n'est pas PCF ; moi, si. Donc, je ne distribue plus aucun tract où figure « Front de Gauche »
A noter que, dans le Nord, une liste PCF avait battu une liste « Front de Gauche ». Et pas la peine de me traiter de menteur ( comme l'a fait un FDG borné ) : les faits sont là
Vive le PCF

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Une candidature communiste sans colonne vertébrale idéologique communiste comme aujourd'hui, est aussi pour moi inenvisageable.
Un « ralliement » à celle de Mélenchon pas davantage, nous ne sommes pas des « insoumis », mais contrairement à nos refondateurs divisés sur la forme (pour ou contre Mélenchon) nous restons Communistes et luttons avec nos petits moyens pour le « Socialisme » qui est toujours selon moi une idée neuve. La projection du film « La Sociale » en avant première, (sur Ambroise Croizat) et les réactions du réalisateur et des spectateurs m'en ont encore convaincu ainsi que des postiers jeunes travailleurs précaires en lutte que nous avons épaulés avec succès.
Ralliement ? Non, mais soutien contre négociations, avec affirmation publique et militante de nos idéaux et propositions communistes largement exprimés sur ce site) avec le candidat Mélenchon, OUI .

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je partage l'idée que le vrai problème pour le PCF n'est pas tant dans la présentation ou non d'un candidat à la présidentielle mais d'avoir une position claire et nette sur la préoccupation première des français : le chômage et l'emploi.
si, d'abord, le PCF, via toutes ses organisations (cellules, sections, fédérations, CN) développe l'idée que le plein emploi correctement rémunéré pour tuer le chômage est une possible, financièrement, économiquement et politiquement alors, OUI, ensuite, une candidature communiste, non pas dans la perspective d'être élu, mais dans celle d'utiliser la campagne présidentielles pour l'idée précitée, serait la bien venue.
mais sur l'idée du plein emploi possible avec 0% de chômage (et non pas 3 à 4%) je ne vois rien se dessiner de la part de mon Parti.......................

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Si la présidentielle est l'affaire des communistes encartés vous pouvez me rayer de la liste des destinataires de vos « papiers ».

Il y a du bon dans les deux premiers commentaires mais beaucoup de lieux communs, ce qu'on peut lire depuis des mois voire des années, y prédominent sans qu'une alternative économique et politique ne soit énoncée ne serait-ce que succintement.

Mélenchon, qui fait le trottoir lors des manifs, et Chassagne n'ont pas apporté la preuve de leur volonté de changement, Boccara est à côté de ses pompes. L'Europe sociale n'est pas pour demain dans le contexte actuel ni même envisageable dans un avenir prévisible.

Un seul homme, Laurent, , ne peut interdire une candidature « communiste » que dans la mesure ou il bénéficie du soutien d'une très large majorité d'adhérents face à une opposition dispersée qui refuse ou hésite à franchir le pas.

En 1940 les communistes, encartés ou non, d'autres aussi ont commencé à résister là ou ils se trouvaient pour ensuite se retrouver et nouer des alliances afin de bouter l'occupant hors du pays ce qu'ils ont réussi tout jetant les bases du programme du CNR base des trente glorieuses.

La question aujourd'hui n'est pas le candidat ou la candidate, mais plutôt que de faire des plans sur une comète virtuelle c'est l' élaboration d'un programme qui permette de rassembler le temps d'une élection tous ceux et celles qui sont opposés au diktat capitaliste mis en oeuvre par les partis de l'étranger de droite comme de gauche.

Il ne peut y avoir d'issue à nos problèmes en restant inféodés aux traités européens avec l'euro monnaie unique qui verrouillent la lutte des classes au profit du capital privé.

Il faut impérativement retrouver notre souveraineté nationale, laver notre linge sale en famille, pour redonner du pouvoir au peuple plutôt que de le renvoyer dans les bras du Front National.

Si vous connaissez un ou une adhérent (e) du PCF, dont la cellule économique s'est étiolée, à même de prendre la tête d'une telle croisade faites moi signe.

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Je veux une consultation de la base de tous les adhérents du PCF sur cette question.
Moins d'un camarade sur 10 dans ma section n'est favorable actuellement à la présentation autonome d'une candidature communiste à l'élection présidentielle. Cette candidature mettrait dangereusement le PCF en faillite, interdirait de fait un rassemblement aux législatives, provoquerait l'éclatement du PCF car une grande proportion d'adhérents a déjà choisi JLM et le programme qu'il propose, quelle que soit la décision de la direction ou du Congrès. Avoir un candidat à la présidentielle, c'est déjà se mettre dans le piège qu'elle représente et participer à notre propre disparition. Le vote blanc expliqué et motivé(comptabilisé en nombre) ne serait-il pas le vote de résistance à cette façon de faire la politique, capable aussi de retrouver les mécontents en colère qui pensent n'avoir que le vote FN pour l'exprimer ?

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Je ne suis plus d'accord avec cette position qui n'est absolument pas comprise, y compris (et même surtout) parmi les communistes qui ont gardé l'esprit de Parti.

Il est malvenu de mettre sur un pied d'égalité l'effacement derrière le PS (la « drauche » dit un camarade) et Mélenchon et ses Insoumis qui le combattent depuis toujours et qui ont gagné le coeur et la raison de nombreux militants du PCF et de la CGT.

Un candidat communiste comme Chassaigne défendra strictement tout ce que nous combattons : l'illusion de l'Europe sociale, notamment, l'alignement diplomatique sur l'UE donc en dernier ressort sur l'UE. Et pour l'économique et le social reprendra les propositions (insuffisantes) de l'humain d'abord et en cela sera sur la même position que Mélenchon, avec un train de retard :(

Devant ce constat que quelque candidat communiste que ce soit il sera sur des positions réformistes que ce réseau dénonce et mettra ses pas dans ceux de la direction avec laquelle j'ai un désaccord général et total (Boccara, Le Hyaric, etc. avez vous entendu ce qui s'est dit à Angers ?), je pense qu'il serait préférable, sans s'effacer le moins du monde, de conduire un ralliement vraiment communiste (de gauche, pour enfoncer le clou !) et vigilant à la candidature Mélenchon.
Ce que je sais de son programme (il en a un lui ! et pas fait par QCM...) il est acceptable à condition de le considérer comme le début d'un processus de changement associant le peuple à tous les stades, et non comme ce fut le cas en 1981 comme un aboutissement.

Une négociation en urgence devrait s'ouvrir avec lui sans tenir compte de la direction et de ses erreurs récurrentes, pour ne pas aboutir à la désastreuse situation de la rivalité entre insoumis et communistes partout (présidentielles, législatives), et ne pas perdre définitivement les communistes nombreux qui ont déjà fait le seul choix qui leur est offert : troquer leur étiquette de communiste contre celle d'insoumis.

Un tel accord serait favorable aux deux partenaires : il NOUS sauvegarde dans notre identité, et nous permet de faire passer nos idées (qui ne sont pas celles de Buffet ou Parny), et Mélenchon y a intérêt ne serait-ce que pour les parrainages.
Et il limiterait la casse au niveau des législatives où médias aidant, ce sont les communistes qui paieront seuls le prix de la désunion

Pour ma part bien qu'ayant annoncé sur les réseaux sociaux mon vote JLM en 2017 (au grand dam des militants liés comme cul et chemise aux dirigeants du réseau peu visible mais soudé d'ANR (http://anrpcf.canalblog.com/)), je ne veux pas me retrouver « insoumis ».