Un jour, il faudra que je raconte « mon » Tadjikistan

, par  Danielle Bleitrach , popularité : 1%

Un jour, il faudra que je raconte « mon » Tadjikistan, j’y suis restée trois semaines pour écrire des articles sur les femmes de ce pays. J’ai eu la chance d’être accompagnée par Mansour, une communiste au cœur pur. Grâce à elle j’ai aimé ce pays comme j’ai pu aimer l’Union soviétique, Cuba. La guerre civile a opposé les communistes aux islamistes à la chute de l’Union soviétique et je ne sais ce qu’il est advenu de Mansour, J’aimerais bien qu’elle me raconte son combat et pas cette ONG qui se veut « impartiale ». Peu à peu la fiction d’une URSS qui serait tombée sans combat se dissipe et un jour peut-être la presse bien pensante de notre France osera-t-elle expliquer qu’encore aujourd’hui les peuples soviétiques se sentent trahis et il l’ont été. Pour moi, aussi il y a eu trahison et cela continue dans le mensonge. C’est étrange les pays auxquels je m’attache sont des paysages qui se confondent avec de beaux visages en lutte… (note de Danielle Bleitrach)

Tadjikistan : 20 ans après la guerre civile, l’heure est au souvenir

Marion Biremon
27 juin 2017

JPEGGuerre civile Tadjikistan 1992-1997

La guerre civile tadjike a laissé des traces quasi-indélébiles pour les citoyens de ce pays pauvre d’Asie centrale. Déplacements, famine, violences : rien n’est oublié, malgré les deux décennies écoulées.

Novastan reprend et traduit ici un article publié à l’origine par Asia Plus.

« On se réjouissait de voir nos cours annulés, on jouait à la corde à sauter pendant les longues heures de queue pour le pain, on se partageait une paire de rollers à deux. Et on cherchait du travail, on étudiait, on mettait au monde de nouveaux enfants. La guerre civile battait son plein, mais la vie, elle, continuait. »

En mai 1992, peu après des élections présidentielles contestées qui mirent à la tête du Tadjikistan Emomalii Rahmon (l’actuel président du Tadjikistan), des affrontements dégénèrent en guerre civile. Deux camps se font face : les communistes, soutenus par le gouvernement, et une coalition d’opposition menée par le Parti de la renaissance islamique, banni depuis septembre 2015.

Ce dernier groupe est constitué notamment de Tadjiks du Pamir et de Gharm : le conflit, politique, prend donc une dimension régionale et ethnique. Les violences, qui se concentrent dans la région de la capitale du pays, entrainent dès la première année plus de 50.000 morts, 600.000 déplacés internes et 80.000 réfugiés. Les accords de paix, signés le 27 juin 1997, fixent un quota de 30% des sièges du gouvernement pour l’opposition, mais les milices et mafias formées pendant la guerre gardent l’emprise à Douchanbé pendant plusieurs mois.

Vingt ans après les accords qui amenèrent la paix et la réconciliation au Tadjikistan, des rédacteurs d’Asia Plus, l’un des médias les plus importants dans le pays, racontent ce qu’ils ont vécu.

Zebo Tadjibaeva, rédactrice : « Les balles atteignent aussi ceux qui courent »

En 1992, j’avais quatorze ans. Ce n’est que plus tard que j’ai réalisé le malheur qui avait frappé à notre porte. Même lorsque nous avons entendu les premiers coups de feu, nous ne comprenions toujours pas que la mort était tout près.

Puis un jour, on a amené dans notre cour un cercueil qui contenait le corps de mon voisin, un garçon seulement d’un an plus âgé que moi. Nous ne savions même pas pour quelle raison il avait été détenu plusieurs jours en prison. J’ai vu sur son corps des marques laissées par des brûlures de cigarette. C’est là que mon enfance s’est terminée.

Mes parents n’ont jamais cessé d’aller au travail, même lorsqu’il n’y avait plus de transports publics. Un jour avec mon petit frère, nous avons regardé avec horreur notre mère sortir tranquillement du magasin alors qu’il y avait des tirs juste à côté d’elle. Je lui ai demandé plus tard : « Maman, pourquoi n’as-tu pas couru ? » Ce à quoi elle m’a calmement répondu : « Les balles atteignent aussi ceux qui courent ».

Des proches de mon père, qui avaient fui la ville de Vakhsh, nous racontèrent comment leurs voisins avaient été tués, et comment eux s’étaient enfuis à pied jusqu’à Douchanbé (la capitale, ndlr). Personne ne nous tenait à l’écart de ces conversations, parce qu’il n’était déjà plus possible d’éviter ces récits d’horreurs.

Ce même soir, des tirs ont visé notre cour : les forces spéciales ont abattu des militants qui se trouvaient dans un appartement au cinquième étage de notre immeuble. Le matin nous sommes sortis dans la rue pour regarder les traces de sang restées sur l’asphalte. L’un des combattants avait tenté de se réfugier dans l’appartement d’au-dessus en passant par la fenêtre, mais il s’était raté.

Une autre fusillade éclata quelques jours après, mais cela ne nous effrayait déjà plus. Ce n’est qu’en entendant le bruit d’une explosion que nous avons décidé de regarder par la fenêtre : l’appartement d’en face brûlait, on y avait jeté des grenades. Nos voisins, des Pamiris, s’étaient échappé le matin même.

Je ne me souviens plus comment s’est déroulée l’année 1993. Ça a peut-être commencé comme cela : je parlais à des amies dans la rue quand deux hommes se sont approchés de nous pour nous demander si des hommes du Pamir ou de Garm vivaient dans notre maison. Mon père était de Garm : il était donc menacé de mort. Ou alors c’est quand on m’a torturé avec un couteau à l’école. En tous cas, après ces deux événements, mes parents ont décidé de nous envoyer moi et mon frère en Russie.

JPEGGuerre civile Tadjikistan Mine Destruction 1992-1997

Ma mère est restée avec mon père au Tadjikistan, mais nous ne voulions pas vivre séparés de nos parents. Nous sommes rentrés au début de l’année scolaire.

Ce n’est que plus tard que notre mère nous a raconté comment mon père avait été détenu une nuit dans un sous-sol dans un village voisin, comment le matin on avait aligné tous les hommes contre un mur pour leur tirer dessus, et que mon père ne devait sa vie qu’au fait que le chef de bande était un ancien collègue de travail.

Ensuite, c’était la famine. C’était fin 1994, mon frère faisait une crise d’appendicite mais les secours ne sont pas venus. On l’a opéré sans anesthésie car il n’y en avait tout simplement pas à l’hôpital. Un mois après dans la file d’attente pour le pain (mon frère devait lui aussi faire la queue, on ne donnait du pain qu’aux personnes présentes), on était tellement serrés que ses points de sutures se sont ouverts : il a fallu à nouveau le recoudre. Encore sans anesthésie.

Les accords de paix de 1997 ne signifiaient pas grand-chose pour nous. Les rues étaient encore sous le contrôle de groupes militants. Je me souviens qu’ils enlevaient les jeunes filles dans la rue avec leurs voitures. C’était tellement effrayant. Quand ça a été mon tour, mes jambes et un ange m’ont sauvée. Une voiture s’est approchée de moi, pleine d’hommes en camouflage. J’ai couru et, heureusement, un conducteur de bus m’a vue et a ouvert les portes arrières du véhicule, j’ai sauté dedans. Il a risqué sa vie pour moi. J’avais tellement peur que je ne me souviens même plus de son visage.

Lilia Gaisina, correspondante : « Tous nos voisins ont déménagé »

Pour moi, la guerre a commencé avec des conteneurs. Je ne comprenais pas encore qu’il y aurait du sang, mais je savais qu’il y avait quelque chose d’anormal. C’était d’abord un voisin, puis deux, puis plusieurs dans une même journée qui amenaient ces boites de fer dans la cour et vidaient dedans tout leur appartement. Ils emmenaient mes amies aussi, une par une.

Tous ont déménagé. Il ne restait plus que moi et Galia. Nous avions une paire de rollers que nous nous partagions à deux pour sillonner d’une maison à l’autre, et nous portions sur nos bras des rubans blancs, bleus, rouges, parce que c’est ce que faisaient les adultes.

JPEGSpetsnaz guerre civile, Tadjikistan, Russie

Ensuite, il y avait de moins en moins de nourriture. D’abord, j’ai dû renoncer au kéfir (une boisson à base de lait, ndlr), puis à la soupe, puis au plat principal. J’ai cessé d’être capricieuse. Je me souviens entendre ma mère glisser d’une voix tremblante à ma grand-mère dans la cuisine : « Lilia est partie dormir le ventre creux, et elle n’a même pas dit un mot ». J’étais fière de moi.

Avec Galia, nous nous sommes inventés un nouveau jeu : nous regardions les photos sur notre livre de cuisine et nous criions, « ça, c’est pour moi ». Il y avait des saucisses avec des petits pois, du caviar rouge et noir, des tartes, des gâteaux. A un moment, ma mère était entrée dans la pièce et m’avait dit, sur un ton accusateur : « Lilia, tout le monde est parti au magasin ». J’avais attrapé ma corde à sauter et couru rejoindre les autres dans la queue, devant le magasin vide. Ils avaient promis un arrivage de pain ce soir-là. Pour ce petit bonheur, nous avions attendu debout pendant des heures. Je jouais à la corde à sauter, puis quand la nuit était tombée à cache-cache. Le pain n’était toujours pas là.

Galia avait alors demandé à sa mère : « Maman, je peux rentrer ? » Elle était un peu plus jeune que moi. « Comment ça, rentrer ? Nous recevrons moins de pain ».

Je n’en pouvais plus de la rue. Il y a encore quelques semaines, je ne demandais qu’à sortir ; mais ce soir-là tout ce que je voulais c’était rentrer chez moi ou aller à l’école. J’avais éclaté de joie quand j’avais appris que l’école fermait, mais ça m’a vite manqué. Je voulais manger et vivre, comme avant.

Mais vivre comme avant, ce n’était plus possible. On m’a même retiré l’obligation de sortir les poubelles. C’était tout près, mais c’est ma grand-mère qui faisait la corvée. Je me suis révoltée, je voulais m’accrocher à ce devoir, cet unique bout de vie du passé, mais on ne me laissait plus sortir. Ma grand-mère marchait lentement dans la rue silencieuse et vide, et moi je la regardais par la fenêtre. Un jour, je l’ai vue s’arrêter près d’un vieil homme allongé par terre. Puis elle a continué son chemin, elle est rentrée et a pris dans le placard un drap blanc avant de ressortir. « Mamie, tu vas où ? » Elle haussa les épaules. Elle est retournée vers cet homme et l’a recouvert du drap. On ne m’a jamais expliqué pourquoi, mais j’avais compris. Longtemps après j’ai eu peur de m’approcher de cet endroit.

Ma grand-mère respectait cette peur. Nous contournions toujours cet endroit quand nous allions au bazar vendre nos biens contre un peu d’argent, même avec des sacs tellement lourds qu’ils nous entaillaient les doigts. Nous avions déjà vendu tout ce qui était léger : l’or, l’argent, la soie, le linge et les nappes brodées. Il ne restait plus que le cristal et les livres. Ma grand-mère avait surtout du mal à se séparer de ses livres : d’abord, elle choisissait ceux qu’on avait en double, puis ceux qu’elle aimait le moins, puis ceux qu’elle avait lus plusieurs fois. Mais la guerre continuait et continuait, et il a fallu vendre le reste aussi.

JPEGGuerre civile, Tadjikistan, réfugiés

Un soir, elle a descendu de l’étagère une collection de huit livres avec une couverture rouge. C’étaient « Les aventures de Tomek au pays des kangourous », « Les aventures de Tomek sur le continent noir », « Tomek à la recherche du yeti », « Tomek en Amazonie » d’Alfred Szklarski. Elle les a posé devant moi et m’a confié : « Lilia, lis, il va falloir les vendre aussi. Il ne reste déjà plus rien ».

J’ai obéis. J’ai lu avec avidité ces aventures, et ça m’a tellement plu que je voulais lire et relire chaque page plusieurs fois. Mais ma grand-mère me pressait, elle me demandait chaque jour où j’en étais. Quand je suis arrivée à la dernière page, je lui ai tendu tous les livres. Nous les avons apportés au bazar. D’habitude quand je portais des sacs lourds je priais pour qu’on vende tout et que je puisse rentrer sans ce poids, mais ça n’aidait pas. Cette fois-là, c’était le contraire, nous avons tout immédiatement vendu. Je n’ai plus jamais lu les aventures de Tomek. Quand la guerre a enfin pris fin, j’avais 15 ans, et j’avais déjà tellement vu que plus aucun de ces livres ne pouvait m’impressionner.

Manija Kourbanova, correspondante : « J’avais l’impression de regarder un film »

Quand la guerre a commencé, je venais tout juste de terminer mes études en journalisme. J’ai longtemps cherché un travail en rédaction, mais personne ne me prenait. Tous les médias fermaient. J’ai été embauchée comme secrétaire au centre national pour l’emploi. C’était fin novembre, au moment où le conflit s’intensifiait à Douchanbé.

Un matin quand je sortais de chez moi, j’ai rencontré mes voisins. Ils étaient surpris. « Tu vas où ? » « Au travail », j’ai répondu. D’un coup, le plus âgé s’est écrié : « Mais tu es folle ? Tu ne regardes pas la télé ? Tu n’entends pas les tirs ? » J’étais presque vexée, parce qu’au travail, on m’avait clairement dit : ne sois pas en retard, arrive toujours à l’heure.

Plusieurs fois, des grenades ont été jetées sur un immeuble voisin. Je me suis habituée au bruit des explosions. Je me souviens par exemple d’une scène que j’ai observée depuis ma fenêtre au septième étage : un homme court, habillé en civil et se retourne de temps en temps pour tirer ; derrière lui deux militants le poursuivent et lui tirent dessus. C’était quelque chose de réel qui se passait devant mes yeux, et pourtant, j’avais l’impression que tout ça, ce n’était qu’un film. Et même lorsque j’ai vu le corps d’un homme enveloppé dans une couverture qui reposait dans la décharge comme un quelconque déchet, je n’ai pas voulu croire que c’était vrai.

JPEGManifestation, guerre civile, Tadjikistan 1992-1997

Un jour, j’attendais le bus à l’arrêt mais il ne venait pas, je voyais tout le monde qui marchait. Alors je les ai suivis. Quelqu’un a lancé : « Aujourd’hui ils ont bombardé le quartier là-bas, et toutes les maisons sont rasés ». Là-bas, c’était chez moi. Et chez moi, mon mari m’attendait. Je n’ai pas réussi à le joindre par téléphone. J’ai couru, et en bas de ma rue j’ai crié son nom. Heureusement, il m’a entendu.

La grand-mère de mon mari et deux de ses cousines sont venues vivre avec nous pendant quelques mois. Une fois, alors qu’on allait prendre refuge pendant une fusillade, la grand-mère a commencé à rassembler des affaires dans un sac. J’étais étonnée. Les tirs continuaient, et nous sommes sortis rejoindre des proches qui habitaient plus loin. Nous avons marché longtemps. A un moment, elle s’est arrêtée, elle ne pouvait plus porter son sac. Je me suis énervée, il fallait penser à sauver notre vie, pas nos affaires. Et elle m’a répondu en larmes : « C’est un drap pour couvrir mon corps, si jamais je meurs en route ». Aujourd’hui encore, j’ai honte devant cette dame.

J’ai beaucoup de souvenirs de la guerre, des images qui m’apparaissent les unes après les autres. Mais le pire, sûrement, c’est la manière dont le conflit peut changer l’homme et le détruire. En 1992, quand la capitale a commencé à accueillir des réfugiés venus du sud, je travaillais à la direction générale pour les réfugiés et les personnes déplacées. Des camions entiers de réfugiés s’arrêtaient devant le bâtiment, et ils se pressaient à l’intérieur pour demander ce statut. Il y avait des pleurs, des cris, des bagarres, et des histoires d’horreur. Des femmes ont raconté comment elles avaient jetés leurs enfants dans la rivière parce qu’elles n’avaient plus la force de les porter et de les nourrir. La guerre les avait anéanties ; elles ne pouvaient plus rire ni pleurer.

Je me souviens aussi de six enfants, frères et sœurs, qui sont venus vers nous. Leur mère était morte sur la route pour Douchanbé, leur père avait disparu sans laisser de traces avant même leur départ. Nous avons dû séparer les enfants pour leur trouver des familles ou des orphelinats. Mais personne ne voulait prendre la petite dernière, une fille de six mois. Puis leur père est arrivé, comme par miracle : il avait été détenu dans une usine désaffectée pendant plus de six mois. Par un coup de grâce, il avait réussi à s’échapper, et il était venu à Douchanbé chercher sa famille. Il était affligé quand il a appris le décès de sa femme et le sort de ses enfants. C’est la première fois, je crois, que j’ai vu à quel point un homme pouvait pleurer : lorsque nous avons ramené les petits devant lui, il s’est mis un rugir comme un lion blessé en embrassant chacun de ses enfants.

Ces histoires douloureuses que je vivais au quotidien ne m’ont pas brisée : au contraire, je suis devenue sans pitié et sans cœur. Et quand de nouveaux réfugiés arrivaient avec leurs histoires à eux, je ne réagissais plus, je faisais mon travail mécaniquement, et c’est tout. Mon responsable essayait d’aider chacun d’entre nous, avec de l’argent, de la nourriture, même si lui-même était un réfugié. Un jour, il m’a reproché de m’être endurcie, et je lui ai expliqué qu’avant je n’étais pas la même. A quoi il a répondu : « Tu as raison, ma fille. Moi aussi je suis fatigué de la douleur et des larmes. Et moi non plus, je ne plains plus personne ».

Fin 1992, j’attendais un enfant. J’avais de terribles nausées matinales, et j’avais une folle envie de ce qui était alors impossible à trouver : des tomates fraiches. Mon mari courrait d’un magasin à l’autre, mais sans succès. Et début 1993, quand j’attendais le bus, on se levait pour me laisser m’asseoir, et cela me gênait, m’agaçait presque. Ce n’est qu’après que j’ai compris qu’en regardant mon ventre, ces personnes s’emplissaient d’espoir : que malgré la guerre, la vie continuerait.

Traduit du russe par Marion Biremon

https://www.novastan.org/fr/tadjikistan/tadjikistan-20-ans-apres-la-guerre-civile-lheure-est-au-souvenir/

Voir en ligne : Sur le blog histoire et société de Danielle Bleitrach

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