Le Destin d’Haïti vacille au coeur de la tourmente mondialisée !

, par  Hervé Fuyet , popularité : 2%

Une opportunité pour Haïti de sortir de l’impasse du sous-développement et d’atteindre enfin la véritable souveraineté.

- 1 - Face à la crise de la mondialisation impérialiste, la mondialisation anti-impérialiste gagne du terrain.

Alors que la mondialisation menée par les États-Unis était caractérisée par l’impérialisme, et donc, la "mondialisation de la pauvreté" , l’ouverture de la Chine au marché mondial peut être définie comme une "mondialisation anti-impérialiste".

C’est une opportunité pour Haïti de sortir de l’impasse du sous-développement et d’atteindre enfin la véritable souveraineté.

- 2 - Le retour du gouvernement du Brésil dans le giron étasunien, le sabotage de l’économie vénézuélienne par les USA, et la proximité géographique d’Haïti avec les USA indiquent que la lutte sera rude et périlleuse.

- 3 - Le vote en faveur des putschistes vénézuéliens de Guaido contre la présidence légitime de Maduro montre l’asservissement du gouvernement Jovenel envers le camp impérialiste des USA, de la France, de Taiwan, etc.

- 4 - L’AMHACH (Association Amitié Haïti-République populaire de Chine, www.amhach.org) lutte contre les désinformations et, grâce à des pétitions, des publications, des émissions radio et télé, favorise la coopération gagnant-gagnant entre Haïti et la Chine socialiste pour sortir Haïti de l’impasse actuelle. Il nous faut de nouveaux Toussaint Louverture et Dessalines.

Les esclaves avec Toussaint et Dessalines ont battu les armées de l’empereur Napoléon. Nous étions les premiers, la première république noire indépendante. Les premiers, oui, c’est vrai, mais un peu seuls !

Par le biais de manœuvres infâmes, de prêts imposés soutenant Haïti comme la corde soutient le pendu, pour reprendre l’expression de Karl Marx, la France a maintenu Haïti dans le sous-développement.

Aujourd’hui, les USA ont pris le relais du maintien de notre sous-développement, avec la France en sous-traitant. Mais il y a un nouvel élément clé : nous ne sommes plus tout seul !

Saisissons la perche chinoise qui nous est tendue.

Difficile, mais pas impossible, de se dégager des griffes de la Trumperie impérialiste

Le Venezuela de Chavez et Maduro lutte courageusement contre les ingérences étasuniennes qui veulent l’empêcher de sortir de la pauvreté.

Les États-Unis font tout pour diviser le pays, soutenir le gouvernement fantôche pro USA de Guaido, et garder le contrôle du pétrole vénézuélien.

Grâce au courage et à la lucidité politique du peuple vénézuélien, les USA n’ont pas gagné la partie qui est loin d’être terminée !

Et pièce clé dans ce jeu d’échecs, le Venezuela a le soutien de la Chine socialiste, de la Russie, de Cuba et de bien des peuples. La partie n’est pas encore gagnée pour le Venezuela, la lutte sera longue et semée d’embûches, mais les augures sont bonnes.

Tout cela montre que la partie ne sera pas facile non plus pour Haïti, mais que la victoire est possible.

L’actuel président d’Haïti, Moïse Jovenel, est un pion des USA, mis en place et maintenu au pouvoir à l’aide d’élections frauduleuses financées par les USA. Jovenel, par opportunisme, c’est-à-dire pour des intérêts personnels à court terme, maintient le peuple haïtien dans l’ignorance de ses intérêts et dans une pauvreté dont il pourrait se sortir.

Le peuple haïtien se rebelle de plus en plus. Entre autres, le peuple haïtien accepte mal que le Président Jovenel reconnaisse diplomatiquement , à la demande de Trump, le gouvernement vénézuélien fantôche de Guaido, au détriment du gouvernement légal de Maduro.

Pourtant le peuple d’Haïti et le peuple du Venezuela sont unis dans leur lutte pour la liberté et contre l’esclavage depuis l’époque de Bolivar, de Toussaint Louverture et de Dessalines.

Pourtant le Venezuela de Maduro a vendu, pour aider le peuple haïtien, à des prix volontairement très bas, de grandes quantités de pétrole à Haïti.

Ajoutant l’insulte à l’injure, le "président trumpetiste" Jovenel, par le biais de manœuvres malhonnêtes menées par ses proches, a fait monter artificiellement le prix du pétrole et de l’essence, et a empoché ignominieusement la différence !

On voit s’accentuer dans le monde l’asymétrie entre un impérialisme étasunien son sous-fifre indocile, l’Union Européenne, et les pays néo-colonisés et appauvris par eux d’une part, et d’autre part, les forces et états qui luttent, autour de la Chine socialiste et des autres états socialistes, pour un monde multipolaire de paix et d’aisance moyenne.

Le destin d’Haïti vacille au cœur de cette tourmente mondialisée. Haïti est géographiquement dans la zone d’influence des USA. Mais ce n’est pas en soi une condamnation à un destin politique de sujétion. Cuba s’est sorti avec courage et détermination de la sujétion étasunienne, le Venezuela lutte avec courage pour s’en sortir ! En Haïti, le "président trumpetiste" Jovenel tente, avec le soutien de Donald Trump, de bloquer le rapprochement d’Haïti avec les forces qui luttent pour un monde multipolaire de paix et d’aisance moyenne.

Il faut faire sauter le verrou diplomatique taïwanais !

L’aricle suivant explique bien pourquoi le président Moïse n’aurait pas dû aller à Taiwan : https://ayibopost.com/jovenel-moise-naurait-pas-du-aller-a-taiwan-parce-que-taiwan-nest-pas-un-pays/

Le représentant commercial de la République populaire de Chine en Haïti , Wang Xaingyang, 54 ans, qui a pris ses fonctions en Haïti le 11 septembre 2017, nous dit :

« Dans les domaines économiques et commerciaux, ça laisse beaucoup à désirer parce que tout simplement Haïti n’a pas de relations diplomatiques avec la Chine. Si nous avions des relations normales, c’est-à-dire diplomatiques, les relations économiques et commerciales entre la Chine et Haïti seraient développées bien davantage. Entre Haïti et la Chine, c’est à peu près 800 millions de dollars par année en termes d’importation et d’exportation. C’est trop limité. Ça peut augmenter énormément. On a donc, beaucoup de choses à développer.

Avec mon prédécesseur l’année dernière, nous avons invité une troupe de danse haïtienne en Chine qui a été très applaudie par les Chinois. Haïti est un peuple d’artistes. Il y a des peintures dans les rues. Je n’ai vu ça dans aucun autre pays. Il y a des choses à faire dans le domaine culturel pour promouvoir la connaissance mutuelle entre les deux peuples. Il y a aussi dix boursiers cette année envoyés en Chine pour des études universitaires. On a aussi des stagiaires qui participent à des échanges d’expériences dans tous les domaines de développement.

La coopération est un bénéfice réciproque. Haïti a besoin de la Chine pour ses techniques, sa capacité économique, son expérience, parce que beaucoup de choses restent à construire. La Chine a besoin de Haïti, la Chine a besoin du marché haïtien. La Chine peut profiter de certaines ressources comme les ressources maritimes. La Chine a besoin de sites touristiques. Il y a beaucoup de Chinois qui visitent les pays étrangers et la Caraïbe constitue un endroit de destination et de curiosité pour les Chinois. Il y a beaucoup de touristes Chinois qui visitent la région, si un dixième de ces touristes visitent Haïti, c’est bien, parce que le tourisme encourage le développement de la restauration, de l’hôtellerie et du service en Haïti. Donc, c’est un lien de réciprocité. »

Un article de Robenson Geffrard intitulé « Entre la Chine et Taïwan, Haïti fait le choix de la continuité… » publié le 21 mai 2018 dans le journal haïtien Le Nouvelliste nous informe que :

« Parallèlement de l’autre côté de l’île, la République dominicaine a rompu ses relations avec Taïwan au profit de la Chine. Le conseiller juridique du pouvoir exécutif dominicain, Flavio Darío Espinal, a fait savoir que "la décision de prendre cette mesure a été soigneusement examinée et consultée avec les grands secteurs politiques et économiques du pays, en tenant compte principalement des besoins, du potentiel et des perspectives d’avenir pour le peuple dominicain".

La Chine aurait promis 3,1 milliards de dollars d’investissement, d’aide financière et de prêts à faible taux d’intérêt à la République dominicaine. Ces promesses passent par 400 millions de dollars pour une nouvelle autoroute, 1,6 milliard de dollars pour des projets d’infrastructures et 300 millions de dollars pour une nouvelle centrale au gaz naturel. »

La position étasunienne sur la question taïwanaise nuit au rapprochement d’Haïti avec la Chine.

Comme l’explique bien une dépêche du 9 mai 2019 de l’agence chinoise Xinhua,

« La récente démarche américaine sur la question taïwanaise montre que Washington s’immisce dans les affaires internes et la souveraineté de la Chine et met en péril les relations bilatérales.

Mardi, la Chambre des représentants des Etats-Unis a fait passer deux projets de loi, le "Taiwan Assurance Act 2019", et "réaffirmant l’engagement des Etats-Unis envers Taïwan et la mise en œuvre du Taiwan Relations Act", ce qui constitue une violation flagrante du principe d’une seule Chine et des dispositions des trois communiqués conjoints sino-américains.

En vertu de l’accord conjoint sino-américain publié en novembre 2009, les deux parties ont réitéré que le principe fondamental du respect de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de chacun était au cœur des trois communiqué conjoints sino-américains qui guident les relations entre la Chine et les Etats-Unis. Aucune des deux parties ne soutient la moindre tentative par une quelconque force de miner ce principe.

Cette démarche du Congrès américain a trahi les obligations et principes de base inscrits dans le droit international. Pour qu’un pays soit responsable sur la scène internationale, il doit respecter ses engagements. "Je ne sais à quoi peut être bon un homme qui manque de sincérité", avait noté le philosophe chinois Confucius. »...

En profitant des questions liées à Taïwan pour en faire un argument de négociation, les Etats-Unis tentent de contenir la Chine à des fins égoïstes. Si la partie américaine persiste dans la mauvaise direction, la Chine offrira une réponse extrêmement ferme.

Quelle place pour Haïti dans la construction d’une communauté de destin pour l’humanité ?

Le président chinois Xi Jinping s’est rendu, le 18 janvier 2017, à l’Office des Nations Unies à Genève et a prononcé au Palais des Nations un discours important intitulé « Construire ensemble une communauté de destin pour l’humanité », lançant au monde un appel à l’engagement commun pour atteindre cet objectif et construire un monde de paix durable, de sécurité pour tous, de prospérité commune, ouvert, inclusif, propre et beau.

Quelle place aura Haïti dans la construction d’une communauté de destin pour l’Humanité ?

Voyons pour cela divers éléments de ce discours fondamental de Xi Jinping du 18 janvier 2017 à Genève.

Le président chinois Xi Jinping a dit à Genève « Il n’y a qu’une seule Terre dans l’univers. Elle est le foyer commun de l’humanité ». Pour perpétuer la paix, renouveler sans cesse les forces motrices du développement et faire rayonner les civilisations, il faut « bâtir une communauté de destin pour l’humanité et réaliser un développement partagé et gagnant-gagnant ».

« Les grandes visions ne peuvent se concrétiser que par des actions" ».

- Premièrement, il faut « promouvoir le dialogue et la concertation pour construire un monde de paix durable ».

Selon lui, les grands pays doivent « respecter les intérêts vitaux et les préoccupations majeures de part et d’autre, bien gérer leurs divergences et œuvrer à l’instauration d’un nouveau modèle de relations marqué par le non-conflit, la non-confrontation, le respect mutuel et la coopération gagnant-gagnant ».

Les grands pays doivent « traiter les petits pays sur un pied d’égalité et s’abstenir de se prendre pour les maîtres du monde et d’imposer leur volonté ».

Le président chinois a souligné l’importance d’adopter un concept de sécurité commune, intégrée, coopérative et durable. Dans la lutte contre le terrorisme, il importe de « s’attaquer aux causes profondes tout en s’efforçant d’éliminer les symptômes ».

- Quant à la crise des réfugiés, « une plus grande coordination et une mobilisation internationale » sont nécessaires pour y répondre efficacement. Le terrorisme et la crise des réfugiés étant étroitement liés aux conflits géopolitiques, « la solution fondamentale réside dans l’apaisement des conflits ». Pour y parvenir, les parties directement concernées doivent engager des consultations et des pourparlers, alors que les autres parties doivent contribuer activement à la réconciliation et au dialogue. « Le rôle central de l’ONU dans la médiation doit être respecté », a souligné le président chinois. Il a par ailleurs appelé la communauté internationale à accroître son soutien et son aide aux pays africains et aux autres pays en développement dans le domaine de la santé publique.

- Troisièmement, il faut « poursuivre la coopération gagnant-gagnant pour construire un monde de prospérité commune ». « Le protectionnisme et le repli sur soi ne profitent à personne », a affirmé le président chinois. Il convient de renforcer la coordination des politiques macroéconomiques des différents pays, notamment des principales économies, de défendre les règles de l’OMC, de soutenir un système commercial multilatéral ouvert, transparent, inclusif et non discriminatoire, et de bâtir une économie mondiale ouverte, a souligné le président chinois, tout en appelant à favoriser « une mondialisation économique ouverte, inclusive, équilibrée et bénéfique pour tous » afin de garantir « l’équité et la justice ».

- Quatrièmement, il faut « promouvoir les échanges et l’enrichissement mutuel pour construire un monde ouvert et inclusif ». Soulignant que la diversité de la civilisation humaine était une caractéristique fondamentale de la planète et une source du progrès de l’humanité, le président chinois a fait savoir que « les différences devaient être un moteur du progrès et non une source de conflit ». Les civilisations s’enrichissent de leurs échanges et ces derniers constituent un moteur du progrès de la société humaine et un levier pour la paix dans le monde.

- Cinquièmement, il faut « suivre la voie du développement vert et à bas carbone pour construire un monde propre et beau ». L’important est de promouvoir les modes de vie et de production verts, à bas carbone, circulaires et durables, de mettre en œuvre de façon équilibrée le Programme de développement durable à l’horizon 2030 et d’explorer sans cesse une voie de développement qui concilie le développement économique, le mieux-être de la population et la protection de l’environnement.

...« Cette belle vision de la construction d’une communauté de destin pour l’humanité dont l’exécution nécessite des efforts de plusieurs générations est la réponse donnée par la Chine aux défis mondiaux qu’affrontent tous les peuples et indique le chemin à suivre pour rendre notre monde meilleur. Déterminée à préserver la paix mondiale, à promouvoir le développement partagé, à nouer des partenariats avec le reste du monde et à soutenir le multilatéralisme, la Chine, en tant que membre de la communauté internationale, ne ménagera aucun effort pour coopérer avec les autres pays, les organisations et institutions internationales, afin de construire une communauté de destin pour l’humanité pour le plus grand bonheur de tous les peuples du monde. »

L’Anti-Trump : la pensée de Xi Jinping sur le socialisme avec des caractéristiques chinoises pour une nouvelle ère

Comme l’explique bien Andrea Catone, Directeur de la revue Marx Ventuno dans son article L’Anti-Trump : la pensée de Xi Jinping sur le socialisme avec des caractéristiques chinoises pour une nouvelle ère :

« La réforme et l’ouverture initiées par Deng Xiaoping en 1978 signifiaient l’ouverture de la Chine au marché mondial ; mais cette ouverture n’était pas aveugle, elle était plutôt dirigée et contrôlée par le PCC, qui avait son propre projet stratégique clair pour le développement des forces productives. Alors que la mondialisation menée par les États-Unis était caractérisée par l’impérialisme, et donc, comme l’écrivait l’économiste Chossudovski, la "mondialisation de la pauvreté" [8], l’ouverture de la Chine au marché mondial peut être définie comme une "mondialisation anti-impérialiste", en ce sens que la Chine a adopté des stratégies et méthodes qui, en ouvrant ses régions et secteurs économiques au capital mondial, ont orienté le développement interne du pays.

Au cours des trois décennies qui ont suivi 1978, jusqu’au seuil du 18ème Congrès du PCC (2012), la Chine s’est efforcée de rester discrète au niveau international, a soigneusement évité de devenir un protagoniste, tout en tissant - le Forum de Shanghai, les BRICS - un réseau important de liens avec les autres pays. Il s’agissait d’un choix judicieux qui a permis à la Chine de se concentrer sur les questions de développement interne et de se doter d’une base économique pour faire un nouveau bond en avant. Le développement des forces productives chinoises a été la principale préoccupation et, comme à l’époque du front uni anti-japonais, tout devait être subordonné à l’objectif principal. Mais de même qu’après la défaite du Japon, le PCC a repris les objectifs stratégiques de la Révolution chinoise, de même, une fois qu’il a atteint un niveau de développement adéquat, la Chine se prépare à une nouvelle phase qui nécessite le développement d’une nouvelle politique.

C’est là qu’intervient le programme chinois d’une "nouvelle mondialisation" non impérialiste, par opposition à la mondialisation défaillante des États-Unis. L’idée fondatrice de cette "nouvelle mondialisation" est innervée et articulée dans une grande initiative, l’initiative Belt and Road, la nouvelle Route de la Soie. Il s’agit d’une initiative concrète de développement pour la Chine et le monde, et en même temps d’une proposition culturelle, étroitement liée au nouvel internationalisme de la Chine, à la lutte pour construire une communauté de destin partagé pour l’humanité entière.

Aujourd’hui, la Chine est le seul pays au monde qui propose au monde entier, à l’humanité entière, un projet extraordinaire de développement humain, qui peut devenir hégémonique, une idée clé acceptée et partagée par les peuples du monde. »

En conclusion : Soyons acteurs plutôt que spectateurs !

Salir et dénaturer cette communauté de destin partagé pour les peuples est un objectif pour les gros intérêts financiers occidentaux, les gouvernements et les médias qui sont à leurs bottes, les services spéciaux occidentaux, et pour beaucoup d’ONG infiltrées .

Il n’est pas facile pour les hommes et les femmes de bonne volonté de démêler le vrai du faux dans cette tourmente mondialisée (Un petit exemple qui date un peu, une étude de cas, la couverture de la grève de Yue Yuen (Chine) en avril 2014 : Internet et le difficile croisement de sources médiatiques fiables http://lepcf.fr/Internet-et-le-difficile).

Mais grâce à des initiatives diverses des Haïtiens au pays ou dans la diaspora, dans nos familles, chez nos amis, avec les amis du peuple haïtiens, en utilisant aussi les réseaux sociaux, les partis politiques progressistes, les syndicats, les églises progressistes, nous pouvons gagner aujourd’hui contre le nouvel esclavagisme néocolonial comme ont su le faire Toussaint Louverture et Dessalines en leur temps contre l’esclavagisme et Napoléon.

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    Le 21 mars 2009, 155 militants, de 29 départements réunis à Malakoff signataires du texte alternatif du 34ème congrès « Faire vivre et renforcer le PCF, une exigence de notre temps ». lire la déclaration complète et les signataires

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    Les résultats de la consultation des 16, 17 et 18 juin sont maintenant connus. Les enjeux sont importants et il nous faut donc les examiner pour en tirer les enseignements qui nous seront utiles pour l’avenir.

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    Texte nr 3, Unir les communistes, le défi renouvelé du PCF et son résumé.

    Signé par 626 communistes de 66 départements, dont 15 départements avec plus de 10 signataires, présenté au 37eme congrès du PCF comme base de discussion. Il a obtenu 3.755 voix à la consultation interne pour le choix de la base commune (sur 24.376 exprimés).